


Single : Marche au-delà des Murs
“Marche au-delà des murs” est un chant d’élan, un souffle de liberté.
Fayalum y célèbre la marche intérieure et extérieure, l’ouverture au monde, aux autres, et à soi.
Chaque pas est un refus des frontières mentales. Chaque rencontre est une lumière.
Entre reggae poétique et slam conscient, la chanson invite à traverser les frontières visibles et invisibles : celles qu’on t’impose, celles que tu t’es cru obligé de garder.
Et plus loin encore — elle rend hommage aux langues, aux cultures, à ce lien silencieux qui nous unit.
“Le vrai langage, c’est celui qu’on voit.
Un regard, un sourire, une main tendue.”
C’est une prière laïque. Un appel doux à se souvenir que le monde ne se possède pas.
Il se découvre. Il se vit. Il se parle… même en silence.
“Marche au-delà des murs” est un chant d’élan, un souffle de liberté.
Fayalum y célèbre la marche intérieure et extérieure, l’ouverture au monde, aux autres, et à soi.
Chaque pas est un refus des frontières mentales. Chaque rencontre est une lumière.
Entre reggae poétique et slam conscient, la chanson invite à traverser les frontières visibles et invisibles : celles qu’on t’impose, celles que tu t’es cru obligé de garder.
Et plus loin encore — elle rend hommage aux langues, aux cultures, à ce lien silencieux qui nous unit.
“Le vrai langage, c’est celui qu’on voit.
Un regard, un sourire, une main tendue.”
C’est une prière laïque. Un appel doux à se souvenir que le monde ne se possède pas.
Il se découvre. Il se vit. Il se parle… même en silence.
“Marche au-delà des murs” est un chant d’élan, un souffle de liberté.
Fayalum y célèbre la marche intérieure et extérieure, l’ouverture au monde, aux autres, et à soi.
Chaque pas est un refus des frontières mentales. Chaque rencontre est une lumière.
Entre reggae poétique et slam conscient, la chanson invite à traverser les frontières visibles et invisibles : celles qu’on t’impose, celles que tu t’es cru obligé de garder.
Et plus loin encore — elle rend hommage aux langues, aux cultures, à ce lien silencieux qui nous unit.
“Le vrai langage, c’est celui qu’on voit.
Un regard, un sourire, une main tendue.”
C’est une prière laïque. Un appel doux à se souvenir que le monde ne se possède pas.
Il se découvre. Il se vit. Il se parle… même en silence.