


Single : La Vie Comme Addiction
"La Vie Comme Addiction" est un cri doux. Un souffle lucide.
Fayalum y pose une vérité simple et dérangeante :
ce n’est pas qu’une question d’herbe ou de fumée… c’est tout ce qu’on avale pour oublier d’être vivant.
Deux joints par semaine, c’est déjà trop, dit-il.
Mais il ne s’arrête pas là. Il parle aussi du sucre, du café, des écrans, des masques, de ce besoin de remplissage qui nous coupe de nous-mêmes.
Et au milieu de ce vacarme : le souffle.
Le vrai. Le brut. Le vivant.
Accompagné de percussions enracinées et d’un spoken word brûlant, Fayalum ne juge pas. Il éclaire.
C’est un frère qui tend la main, un artiste qui tend un miroir.
Et dans ce miroir, il reste une lumière à rallumer.
La tienne.
"Pas besoin d’fumée pour s’élever haut.
Le souffle pur, c’est le vrai cadeau."
"La Vie Comme Addiction" est un cri doux. Un souffle lucide.
Fayalum y pose une vérité simple et dérangeante :
ce n’est pas qu’une question d’herbe ou de fumée… c’est tout ce qu’on avale pour oublier d’être vivant.
Deux joints par semaine, c’est déjà trop, dit-il.
Mais il ne s’arrête pas là. Il parle aussi du sucre, du café, des écrans, des masques, de ce besoin de remplissage qui nous coupe de nous-mêmes.
Et au milieu de ce vacarme : le souffle.
Le vrai. Le brut. Le vivant.
Accompagné de percussions enracinées et d’un spoken word brûlant, Fayalum ne juge pas. Il éclaire.
C’est un frère qui tend la main, un artiste qui tend un miroir.
Et dans ce miroir, il reste une lumière à rallumer.
La tienne.
"Pas besoin d’fumée pour s’élever haut.
Le souffle pur, c’est le vrai cadeau."
"La Vie Comme Addiction" est un cri doux. Un souffle lucide.
Fayalum y pose une vérité simple et dérangeante :
ce n’est pas qu’une question d’herbe ou de fumée… c’est tout ce qu’on avale pour oublier d’être vivant.
Deux joints par semaine, c’est déjà trop, dit-il.
Mais il ne s’arrête pas là. Il parle aussi du sucre, du café, des écrans, des masques, de ce besoin de remplissage qui nous coupe de nous-mêmes.
Et au milieu de ce vacarme : le souffle.
Le vrai. Le brut. Le vivant.
Accompagné de percussions enracinées et d’un spoken word brûlant, Fayalum ne juge pas. Il éclaire.
C’est un frère qui tend la main, un artiste qui tend un miroir.
Et dans ce miroir, il reste une lumière à rallumer.
La tienne.
"Pas besoin d’fumée pour s’élever haut.
Le souffle pur, c’est le vrai cadeau."