“Entre les murs” est une confession à voix basse. Une voix qui ne cherche pas la lumière, mais qui murmure à ceux qui vivent dans les interstices.
C’est une lettre qu’on n’envoie jamais mais qu’on écrit quand même.
C’est un cri sans majuscule, un amour sans scène, une vérité sans costume.
À travers des couplets ciselés et un refrain qui résonne dans le béton des villes, cette chanson donne corps à cette présence invisible mais fidèle, à cette voix qui parle quand tout le monde se détourne, à cet amour qui résiste aux silences, aux adieux, et aux murs.
Elle ne cherche pas à séduire. Elle témoigne. Elle reste, même dans l’ombre.
C’est un hymne à celles et ceux qu’on n’écoute jamais.
Une promesse d’écho, même dans l’absence.
“Entre les murs” est une confession à voix basse. Une voix qui ne cherche pas la lumière, mais qui murmure à ceux qui vivent dans les interstices.
C’est une lettre qu’on n’envoie jamais mais qu’on écrit quand même.
C’est un cri sans majuscule, un amour sans scène, une vérité sans costume.
À travers des couplets ciselés et un refrain qui résonne dans le béton des villes, cette chanson donne corps à cette présence invisible mais fidèle, à cette voix qui parle quand tout le monde se détourne, à cet amour qui résiste aux silences, aux adieux, et aux murs.
Elle ne cherche pas à séduire. Elle témoigne. Elle reste, même dans l’ombre.
C’est un hymne à celles et ceux qu’on n’écoute jamais.
Une promesse d’écho, même dans l’absence.