


Single : On a Oublié le Vivant
Dans un monde qui scrolle plus vite qu’il ne respire, Ethéréa nous tend un miroir sans filtre.
Ce morceau est un cri doux-amer, un poème rapé, une prière moderne adressée à la Terre.
À travers une plume à la fois tendre et acérée, il nous rappelle l’essentiel :
ce qu’on a troqué pour du confort, ce qu’on a sacrifié pour de l’efficacité, ce qu’on pourrait encore sauver… si l’on ralentissait.
Chaque couplet est une gifle poétique, chaque refrain une caresse de lucidité.
Ce n’est pas un sermon. Ce n’est pas une colère.
C’est un chant pour le vivant — celui qu’on oublie, celui qu’on piétine, celui qui attend encore qu’on l’écoute.
Dans un monde qui scrolle plus vite qu’il ne respire, Ethéréa nous tend un miroir sans filtre.
Ce morceau est un cri doux-amer, un poème rapé, une prière moderne adressée à la Terre.
À travers une plume à la fois tendre et acérée, il nous rappelle l’essentiel :
ce qu’on a troqué pour du confort, ce qu’on a sacrifié pour de l’efficacité, ce qu’on pourrait encore sauver… si l’on ralentissait.
Chaque couplet est une gifle poétique, chaque refrain une caresse de lucidité.
Ce n’est pas un sermon. Ce n’est pas une colère.
C’est un chant pour le vivant — celui qu’on oublie, celui qu’on piétine, celui qui attend encore qu’on l’écoute.
Dans un monde qui scrolle plus vite qu’il ne respire, Ethéréa nous tend un miroir sans filtre.
Ce morceau est un cri doux-amer, un poème rapé, une prière moderne adressée à la Terre.
À travers une plume à la fois tendre et acérée, il nous rappelle l’essentiel :
ce qu’on a troqué pour du confort, ce qu’on a sacrifié pour de l’efficacité, ce qu’on pourrait encore sauver… si l’on ralentissait.
Chaque couplet est une gifle poétique, chaque refrain une caresse de lucidité.
Ce n’est pas un sermon. Ce n’est pas une colère.
C’est un chant pour le vivant — celui qu’on oublie, celui qu’on piétine, celui qui attend encore qu’on l’écoute.