


Single : Les Bâtisseurs
Ce morceau, c’est pas une chanson.
C’est un hommage. Un monument verbal.
Un mur invisible gravé en silence par des millions de mains.
Ils ne défilent pas.
Ils ne revendiquent rien.
Ils avancent. Tous les jours. Sans bruit.
Ils viennent de partout :
Portugal. Maroc. Espagne. Serbie. Algérie.
Des cœurs dispersés sous des casques poussiéreux.
Des âmes solides qui tiennent debout pendant que d’autres spéculent assis.
Pas de trophée. Pas de caméra.
Juste des outils. Des cicatrices. Des silences pleins de dignité.
Ils ne demandent pas qu’on les célèbre.
Mais ils méritent qu’on les grave.
Ici, METHOD pose une stèle :
à ceux qui montent les murs qu’on ne voit jamais,
à ceux qui suent pendant que d’autres brillent,
à ceux qui signent leur présence… dans le béton.
Ce morceau n’est pas pour les vitrines.
Il est pour les fondations.
Pour les vrais.
Pour les Bâtisseurs.
Ce morceau, c’est pas une chanson.
C’est un hommage. Un monument verbal.
Un mur invisible gravé en silence par des millions de mains.
Ils ne défilent pas.
Ils ne revendiquent rien.
Ils avancent. Tous les jours. Sans bruit.
Ils viennent de partout :
Portugal. Maroc. Espagne. Serbie. Algérie.
Des cœurs dispersés sous des casques poussiéreux.
Des âmes solides qui tiennent debout pendant que d’autres spéculent assis.
Pas de trophée. Pas de caméra.
Juste des outils. Des cicatrices. Des silences pleins de dignité.
Ils ne demandent pas qu’on les célèbre.
Mais ils méritent qu’on les grave.
Ici, METHOD pose une stèle :
à ceux qui montent les murs qu’on ne voit jamais,
à ceux qui suent pendant que d’autres brillent,
à ceux qui signent leur présence… dans le béton.
Ce morceau n’est pas pour les vitrines.
Il est pour les fondations.
Pour les vrais.
Pour les Bâtisseurs.
Ce morceau, c’est pas une chanson.
C’est un hommage. Un monument verbal.
Un mur invisible gravé en silence par des millions de mains.
Ils ne défilent pas.
Ils ne revendiquent rien.
Ils avancent. Tous les jours. Sans bruit.
Ils viennent de partout :
Portugal. Maroc. Espagne. Serbie. Algérie.
Des cœurs dispersés sous des casques poussiéreux.
Des âmes solides qui tiennent debout pendant que d’autres spéculent assis.
Pas de trophée. Pas de caméra.
Juste des outils. Des cicatrices. Des silences pleins de dignité.
Ils ne demandent pas qu’on les célèbre.
Mais ils méritent qu’on les grave.
Ici, METHOD pose une stèle :
à ceux qui montent les murs qu’on ne voit jamais,
à ceux qui suent pendant que d’autres brillent,
à ceux qui signent leur présence… dans le béton.
Ce morceau n’est pas pour les vitrines.
Il est pour les fondations.
Pour les vrais.
Pour les Bâtisseurs.