


Single : Faire du Bif
Ce morceau, c’est pas un single.
C’est une course en rond, une spirale sans fond.
C’est le poids des jours sans retour,
où le bif te fait croire que t’existes, pendant qu’il t’efface.
Ici, y’a pas de Rolex.
Pas de yacht. Pas de festin.
Juste des mains sales, des poches vides,
et des rêves entassés sous les dettes.
METHOD, il parle pas d’argent.
Il parle de ceux qui le cherchent pour survivre.
Pas pour briller. Pour tenir.
“Faire du Bif”,
c’est l’écho du néant qu’on a tous tenté de remplir.
Et qui nous a jamais rendu ce qu’on y a mis.
Ce morceau, c’est pas un single.
C’est une course en rond, une spirale sans fond.
C’est le poids des jours sans retour,
où le bif te fait croire que t’existes, pendant qu’il t’efface.
Ici, y’a pas de Rolex.
Pas de yacht. Pas de festin.
Juste des mains sales, des poches vides,
et des rêves entassés sous les dettes.
METHOD, il parle pas d’argent.
Il parle de ceux qui le cherchent pour survivre.
Pas pour briller. Pour tenir.
“Faire du Bif”,
c’est l’écho du néant qu’on a tous tenté de remplir.
Et qui nous a jamais rendu ce qu’on y a mis.
Ce morceau, c’est pas un single.
C’est une course en rond, une spirale sans fond.
C’est le poids des jours sans retour,
où le bif te fait croire que t’existes, pendant qu’il t’efface.
Ici, y’a pas de Rolex.
Pas de yacht. Pas de festin.
Juste des mains sales, des poches vides,
et des rêves entassés sous les dettes.
METHOD, il parle pas d’argent.
Il parle de ceux qui le cherchent pour survivre.
Pas pour briller. Pour tenir.
“Faire du Bif”,
c’est l’écho du néant qu’on a tous tenté de remplir.
Et qui nous a jamais rendu ce qu’on y a mis.