


Single : Les pierres que j’porte
Du bitume dans la gorge, de la poussière sur les cordes.
Cette version de "Les pierres que j’porte" n’est plus une ballade.
C’est un cri.
Une détonation électrique de mémoire, de rage et de tendresse brute.
Maël y balance ses vers comme des coups de pelle dans l’asphalte :
les ruines oubliées, les enfants sans futur, la dame aux pigeons,
les silences qu’on enterre à force de confort.
Pas de refrains pour faire joli.
Juste des riffs qui grattent l’âme,
et des mots qui pèsent comme les pierres qu’on traîne.
"Les pierres que j’porte", c’est un rock qui saigne vrai.
Un rock pour ceux qui vivent encore... même debout dans la poussière.
Du bitume dans la gorge, de la poussière sur les cordes.
Cette version de "Les pierres que j’porte" n’est plus une ballade.
C’est un cri.
Une détonation électrique de mémoire, de rage et de tendresse brute.
Maël y balance ses vers comme des coups de pelle dans l’asphalte :
les ruines oubliées, les enfants sans futur, la dame aux pigeons,
les silences qu’on enterre à force de confort.
Pas de refrains pour faire joli.
Juste des riffs qui grattent l’âme,
et des mots qui pèsent comme les pierres qu’on traîne.
"Les pierres que j’porte", c’est un rock qui saigne vrai.
Un rock pour ceux qui vivent encore... même debout dans la poussière.
Du bitume dans la gorge, de la poussière sur les cordes.
Cette version de "Les pierres que j’porte" n’est plus une ballade.
C’est un cri.
Une détonation électrique de mémoire, de rage et de tendresse brute.
Maël y balance ses vers comme des coups de pelle dans l’asphalte :
les ruines oubliées, les enfants sans futur, la dame aux pigeons,
les silences qu’on enterre à force de confort.
Pas de refrains pour faire joli.
Juste des riffs qui grattent l’âme,
et des mots qui pèsent comme les pierres qu’on traîne.
"Les pierres que j’porte", c’est un rock qui saigne vrai.
Un rock pour ceux qui vivent encore... même debout dans la poussière.